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Mes coups de cœur album 2013: David Bowie, Ghost, Black Sabbath, Nick Cave…

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Hello et avant tout mes meilleurs vœux pour cette année 2014!

Pour bien commencer l’année je vous propose – grande première – une petite vidéo que je me suis amusé à réaliser\’bricoler’ très rapidement dans laquelle je présente mes coups de cœur albums de l’année 2013. Un article plus complet avec une sélection étendue sera publiée prochainement. A très bientôt…

 

 

 

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Réédition de "Thirteen Tales from Urban Bohemia" des Dandy Warhols.

Universal a la bonne idée de nous rééditer un très grand album des 90′s: Thirteen Tales from Urban Bohemia des Dandy Warhols. Retour sur cette grande réussite que l’on réécoute aujourd’hui avec grand plaisir…

Il y a 13 ans déjà sortait alors le troisième album du groupe américain The Dandy Warhols. Après deux albums intéressants sortis fin des années 90 (« Dandy Rules Ok » en 95 et « … The Dandy Warhols Come Down » en 97), le groupe perçait enfin grâce à un album très abouti mélangeant titres à l’ambiance planante « façon fin de soirées » à des titres plus rock’n’roll parsemés de riffs que les Stones n’auraient pas reniés quelques années plus tôt (« Bohemian Like You » ).

Mélangeant avec beaucoup de subtilité les sonorités du Velvet Underground, des Pixies, de Primal Scream et … des Stones, « Thirteen Tales from Urban Bohemia » lançait avec beaucoup de punch le son rock des années 2000. Propulsé par le succès international de l’album, le groupe séduira David Bowie sur scène après un set explosif sur la scène du Glastonbury Festival en 2000. Ce dernier en profitera pour inviter les Dandy à assurer sa première partie lors de sa tournée  « A Reality Tour » en 2003.

L’écoute de « Thirteen Tales from Urban Bohemia » semble aujourd’hui toujours aussi rafraîchissante et cette réédition est une excellente excuse pour se replonger dans la musique des Dandy Warhols. A noter dans cette édition « 13ème anniversaire » la présence de quelques bonus pas inintéressants qui raviront les fans les plus hardcore.

Highlights: Godless, Get Off, Horse Pills, Bohemian Like You.

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L'influence considérable des Beach Boys dans la musique d'aujourd'hui

On parle beaucoup des Beach Boys ces derniers temps. Il y a la reformation et surtout la « réconciliation » entre les cousins ennemis Brian Wilson et Mike Love après des décennies de ‘gueguerre’ qui a donné lieu à une tournée remplie de succès et la récente sortie d’un double live. Mais outre cette actualité, il est intéressant de constater que près de 50 ans après la sortie de « Pet Sounds », souvent considéré comme une des œuvres majeures des Beach Boys et de l’histoire du rock, le groupe californien continue à exercer une importante influence sur les jeunes générations. Zoom sur quelques uns des groupes de la scène actuelle revendiquant ouvertement l’influence de Brian Wilson et de sa bande…

Animal Collective

  • Le groupe Animal Collective, formé à la toute fin des années 90 et originaire de Baltimore (dans le Maryland, Etats-Unis), poursuit aujourd’hui une brillante carrière riche déjà de neuf albums. Difficilement « classable », ce collectif de musiciens est souvent étiqueté comme une formation de rock psychédélique « expérimental ». Voyageant entre rock, folk, touche psychédélique, musique électronique, rock indé, Animal Collective propose un voyage musical très aventureux et est en constante recherche d’évolutions sonores. C’est probablement Noah Benjamin Lennox alias Panda Bear – l’un des invités du nouveau Daft Punk qui est le plus touché par la ‘Wilsonmania‘. Parallèlement à Animal Collective, il a sorti quelques albums solos qui ne manquent pas d’intérêt.

Fleet Foxes
  • Probablement l’un des plus grands noms de la vague folk revival apparue au début des années 2010, Fleet Foxes a été aussi considérablement inspiré par les harmonies vocales de Beach Boys. Originaire de Seattle, le groupe a sorti deux albums encensés par la presse internationale.

The Polyphonic Spree
  • Défendu par David Bowie,qui les a sélectionné lors de la réalisation de l’affiche du Meltdown Festival de Londres en 2002, The Polyphonic Spree est une formation atypique originaire de Dallas au Texas. Plus qu’un « simple » groupe de rock, il s’agit d’une chorale de 10 chanteurs et d’une dizaine de musiciens (guitariste, bassiste, flûtiste, violoniste…). La musique et surtout le travail sur les chœurs trouvent leurs sources dans la musique du groupe de Brian Wilson.


The Wondermints

  • Comme les Beach Boys, les Wondermints sont originaires de Californie. Le premier album sort en 1995. 4 ans plus tard, les Wondermints se voient offrir le genre d’offre que l’on ne peut pas refuser, celle de rejoindre Brian Wilson sur scène afin de devenir son groupe d’accompagnement officiel. Complètement fans de Wilson, les membres de Wondermints entament alors une longue relation professionnelle avec le génie des Beach Boys et auront notamment l’occasion de recréer à ses côtés l’album « perdu » des Beach Boys: le somptueux « Smile ». A noter que les Wondermints ont également accompagné Arthur Lee du groupe américain Love afin de l’aider à reproduire fidèlement sur scène le cultissime album « Forever Changes », autre monument du rock psychédélique californien.

  • Les groupes actuels qui ont été influencés par les Beach Boys sont extrêmement nombreux et si vous souhaitez étendre les recherches, jetez une oreille également à Gorkys Zygotic Mynci, Super Furry Animals, Apples in Stereo, The Shins ou encore au groupe belge Dan San.
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Daft Punk: les robots de plus en plus humains?

Random Access Memory marque le retour de Daft Punk après 8 ans d’absence. L’album étonne, ravit ou déçoit, le moins que l’on puisse dire c’est que malgré son grand succès commercial depuis sa sortie, l’album divise. D’un côté les fans des débuts se sentent trahis et de l’autre un tout nouveau public découvre la musique du duo français. Zoom sur un album qui ne passe pas inaperçu…

L’attente a été longue depuis la sortie de Human After All en 2005, mais ce « break » a permis à Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo, les deux humains qui se cachent derrière les casques, de redéfinir leur musique et de peaufiner un album ambitieux. Le morceau qui ouvre l’album porte un titre évocateur de la philosophie de ce quatrième album de Daft Punk: « Give Life Back To Music » (rend vie à la musique). Il semblerait qu’il y ait une sorte d’évolution naturelle dans la carrière du duo, des débuts très électros et purement enregistrés à deux à cet album qui se révèle être un album sur lequel il s’entourent de nombreux collaborateurs.

Daft Punk nous  propose donc de rendre la vie à la musique, notamment en s’accompagnant pour la première fois de leur carrière de guitaristes, de bassistes et de batteurs, que des grands noms du genre (notamment le batteur Omark Hakim, connu entre autres pour avoir accompagné Bowie sur l’album « Let’s Dance » ou encore Sting à plusieurs reprises mais aussi le bassiste Nathan East, fidèle collaborateur de Phil Collins, Eric Clapton ou encore d’Herbie Hancock). Même si les masques sont toujours au rendez-vous, les deux musiciens robots semblent se dévoiler, s’humaniser de plus en plus.

Ils ne le cacheront pas en interview, les deux Daft Punk ont écrit, conçu et enregistré cet album avant tout pour se faire plaisir à rendre hommage à la musique et aux artistes qui les ont influencés sur leur longue route musicale.

Un très bel hommage est rendu à Giorgio Moroder, pape du disco qui a propulsé notamment les carrières de Blondie ou de Donna Summer. On peut l’entendre raconter son parcours dans le titre qui porte son nom. Émotion et passion sont au rendez-vous dans ce titre.

Nile Rodgers, de Chic, est venu soutenir le duo en assurant la guitare sur trois excellents titres: « Get Lucky », le premier single issu de l’album, mais aussi « Give Life Back To Music » et « Love Yourself To Dance ».

Autre nouveauté, en plus de retrouver un groupe, on retrouve plusieurs chanteurs. Si certains titres bénéficient toujours de voix synthétiques désormais « classiques », on retrouve sur l’album le rappeur Pharell Williams sur deux titres ainsi que Julian Casablancas des Strokes, Todd Edwards ainsi que le retour plutôt inattendu de Paul Williams, dont les amateurs de films cultes des années 70 se souviennent puisqu’il était le chanteur de la BO de l’étrange « Phantom Of The Paradise » de Brian De Palma, très en forme sur le très bon et presque progressif « Touch ».

Album hommage à la musique d’une autre époque, Daft Punk y propose des sonorités de funk, de soul, de jazz, de musique électronique et parfois même de rock progressif. On pense bien entendu à Chic, mais aussi parfois à Steely Dan, Sébastien Tellier ou encore Air.

Cette « humanisation » de la musique de Daft Punk me fait penser à une interview que je lisais récemment à propos de la Trilogie Berlinoise de David Bowie. Dans celle-ci, le journaliste demandait à Bowie à quel point Kraftwerk avait été une influence pour lui. Le caméleon répondait alors qu’effectivement le groupe allemand l’avait inspiré dans son travail mais qu’il avait eu besoin de donner plus de vie à la musique en insistant sur le son de batterie joué par un véritable batteur et non par une boite à rythme comme le faisait Kraftwerk pour donner un caractère plus « humain » à son oeuvre. En évoluant de cette façon, Daft Punk se rapproche – d’une certaine façon – de la méthode Bowie. Et la réaction des fans les plus puristes, qui se sentent trahis par ce revirement musical, rappelle d’une certaine manière celle des fans de Dylan quand, ce dernier, avait « électrisé » sa musique dans la moitié des années 60, mettant de côté l’aspect « folk acoustique » plus pur de ses premiers albums.

Daft Punk a évolué, ça peut plaire ou ne pas plaire, mais personnellement j’ai beaucoup apprécié ce voyage – certes nostalgique – mais ô combien séduisant auquel le duo français nous invite ici.


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The Next Day: le grand retour de David Bowie

David Bowie a toujours aimé brouiller les pistes… Le 8 janvier, il a surpris le monde musical en revenant sans prévenir – et après 10 ans d’absence – avec un nouveau single « Where Are We Now » et l’annonce d’un nouvel album pour le mois de mars. Impressions…

Si « Where Are We Now » avait ravi les fans de l' »époque berlinoise » avec toutes ces références à la capitale allemande, il avait quelque peu inquiété les autres.  Bowie semblait en effet un peu fatigué vocalement et très mélancolique. Le single a ravivé les pires rumeurs concernant son état de santé. Et on le sait fragilisé depuis un important problème cardiaque en 2004. Mais Bowie aime jouer avec les rumeurs et le choix de ce premier single n’était pas anodin. Hier nous avons découvert « The Stars Are Out Tonight » qui se voulait plus rassurant et plus énergique…

Mais rassurés vous allez l’être dès les premières notes de ce nouvel album.  Le message de « The Next Day », la plage titulaire qui ouvre cette nouvelle production est on ne peut plus clair. Un Bowie en très grande forme martèle « Here I Am, Not Quite Dying » (« Me revoici,  pas vraiment mourant »), véritable pied de nez à tous ceux qui le voyaient déjà « en boite ».

Si la pochette de ce nouvel album revisite celle d' »Heroes » (1977) le second album de la trilogie berlinoise, l’atmosphère de ce premier titre nous rappelle plutôt celle de « Lodger » (1979), dernière pièce de cette importante collection d’albums.  Et cette tendance se confirme lors de l’écoute globale de l’album.

Bowie a ici ce côté rageur, sans concession. Il nous fait comprendre dans ses textes et dans sa musique qu’il est passé près de la mort mais qu’il va mieux, qu’il déborde à nouveau d’énergie et de créativité et qu’il n’a certainement pas dit son dernier mot.

Il y a une tension palpable tout au long de l’album, une urgence… Si on pouvait craindre un album lent et plaintif, on retrouve ici tout le contraire. Il n’y a que deux ballades: »Where Are We Now » et « Feel So Lonely We Could Die » (avec un chouette clin d’oeil à l’intro de « Five Years » en fin de morceau), les deux seuls moments de répit avant de repasser à l’attaque.

The Next Day est un album profond, fouillé,  qui demandera plusieurs écoutes pour être apprécié à sa juste valeur.

A souligner également sur l’album les excellentes prestations des guitaristes Carlos Alomar et Earl Slick,  des bassistes Gail Ann  Dorsey, Tony Levin et Tony Visconti (qui produit bien entendu l’ensemble de l’album).

À 66 ans, Bowie est encore capable de nous surprendre, de nous étonner et on ne va certainement pas s’en plaindre.

Sorties CD Belgique: 8 mars et 33 tours dans 2 semaines (Sony Music)

  • Note: 4,5/5
  • A écouter avant tout: The Next Day, The Stars Are Out Tonight, Love is Lost, I’d Rather Be High
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Become a Berliner: la setlist

Hier soir, j’ai été invité par mes camarades et collègues Pierre Bartholomé et Michaël Léonard à la soirée « Become a Berliner » au Vecteur de Charleroi. Cela m’a donné l’occasion d’effectuer une première expérience de « DJ ». Je m’y attendais pas forcément mais ça m’a beaucoup amusé. Très chouette soirée en tout cas! Pour ceux et celles qui m’ont demande les références de tel et tel titres, voici la « setlist » complète par ordre de diffusion. Vous pourrez également réécoute la majorité des titres grâces aux playlists Spotify que j’ai créé spécialement suite à la soirée. Bonne écoute!

La soirée a débuté par un KrautRock Mix perso avec des extraits de – dans l’ordre:

  • Guru Guru – Baby Cake Walk extrait de l’album « Känguru » (1972)
  • Popol Vuh – In The Gardens Of The Pharao/In den Gärten Pharaos extrait de l’album « In den Gärten Pharaos » (1971)
  • Tangerine Dream – Phaedra extrait de l’album « Phaedra » (1974)
  • Klaus Schulze – Crystal Lake extrait de l’album « Mirage » (1977)
  • Cluster & Eno  – Steinsame extrait de l’album « Cluster & Eno » (1977)
  • Neu! – E-Musik extrait de l’album « Neu! 75 » (1975)

Lien Spotify pour écouter la 1ère partie de set:

2ème partie du set: rock et électro allemand ou influencé par la vague musical allemande

  • U2 – Zoo Station
  • Can – Oh Yeah extrait de l’album « Tago Mago » (1971)
  • Radiohead – Everything in Its Right Place extrait de « Kid A » (2000)
  • Brian Eno – St Elmo’s Fire extrait de l’album « Another Green World » (1975)
  • Ultravox – Hiroshima Mon Amour extrait de l’album « Ha!-Ha!-Ha! » (1977)
  • Nena – 99 Luftballons extrait de l’album « 99 Luftballons » (1984)
  • Iggy Pop – Nightclubbing extrait de l’album « The Idiot » (1977)
  • The Buggles – I Love You (Miss Robot) extrait de l’album « The Age of Plastic » (1980)
  • David Bowie – V-2 Schneider extrait de l’album « Heroes » (1977)
  • David Bowie – Heroes extrait de l’album « Heroes » (1977)
  • Einstürzende Neubauten – Weil Weil Weil extrait de l’album « Alles wieder offen » (2007)
  • Killing Joke – Eighties extrait de l’album « Night Time » (1985)

Lien Spotify pour écouter la 2ème partie de set:

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La citation du jour… Robert Fripp

« La musique est le vin qui remplit la coupe du silence »

Robert Fripp

Robert Fripp est le guitariste de King Crimson. Il a aussi accompagné Bowie sur les albums « Heroes » et « Scary Monsters » ainsi que Brian Eno sur de nombreux projets. Son traitement de guitare et son jeu sont considérés comme des éléments fondateurs de l’histoire de la musique rock. Il a également collaboré avec Microsoft pour créer les différents sons d’ambiance de Windows Vista.

Ci-dessous, une vidéo de King Crimson en live dans laquelle Robert Fripp et son band reprennent la célèbre « Heroes »…

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Lou Reed et Metallica et les collaborations étranges de l'histoire du rock

La presse musicale internationale parle beaucoup d’un album étrange attendu pour le 31 octobre prochain. Ce disque unit Lou Reed à Metallica… Drôle de mélange pensez-vous…? En effet rien ne semble rapprocher le singer/songwriter new-yorkais et la machine de guerre métallique « made in California »… Cependant à lire les nombreuses interviews diffusées dans les magazines spécialisés britanniques, tout semble s’être très bien passé en studio et Lou Reed a ainsi aidé les métalleux à se concentrer sur l’instant, sur l’émotion, plutôt que sur un perfectionnisme maladif qui parfois peut donner un aspect un peu trop « aseptisé » à leur musique. On est impatient d’entendre le résultat dans quelques semaines… Mais, tant qu’on en est à parler d’associations étranges, il y en a eu de très nombreuses et il est impossible de toutes les citer… Voici quelques illustrations de ce que le rock nous a offert de plus original, dingue, improbable ou simplement drôle dans le genre :

  • En 1978 sort un film intitulé « Sgt Pepper’s Lonely Hearts Club Band », hommage au chef d’oeuvre des Beatles sorti 11 ans plus tôt. Si le film ne laissera pas un grand souvenir dans l’histoire du cinéma, sa bande originale nous permettra de redécouvrir les titres des Beatles rejoués par une pléiade de stars (Peter Frampton, Aerosmith, Earth Wind & Fire, Billy Preston) dirigées par George Martin « himself ». Mais le duo le plus frappé que l’on trouve sur ce disque, c’est sans aucun doute celui entre Alice Cooper et les Bee Gees qui interprètent un très bel extrait de l’album Abbey Road: « Because ». Alice et les Bee Gees ensemble en studio, c’est original mais assez réussi.

  • Si Phil Spector est semble-t-il un cinglé et un criminel, il a été également – à l’époque – un producteur de génie. On séparera donc ici l’être humain – peu fréquentable – de l’artiste. Célèbre pour ses collaborations avec John Lennon, George Harrison, ses nombreux tubes des sixties (avec les Ronettes, les Crystals, etc) et son « Wall of Sound », Phil Spector a eu l’occasion de s’associer à Leonard Cohen et … aux Ramones. Deux collaborations très spéciales dont voici deux exemples ci-dessous:

  • Enregistré en septembre 1977 lors d’un show TV, la collaboration tout à fait surprenante entre David Bowie et Bing Crosby ne sortira officiellement que quelques années plus tard, en hiver 82, et ce sera un véritable carton … comme quoi …

  • Dans un genre tout aussi burlesque, que dire de l’association France Gall et Elton John en 1980 ainsi que celle de Bernie Taupin et Michel Berger pour ce « Donner pour Donner »….

  • Et pour terminer celle entre Laurent Voulzy et Ritchie Blackmore (oui oui) pour ce « Guitare Héraut »

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U2 de retour à Berlin

Achtung Baby: U2 de retour à Berlin!

U2 vient de passer quelques jours à Berlin à l’occasion de la préparation de la réédition 20ème anniversaire d’un de leurs plus célèbres albums : Achtung Baby

Pour rappel, cet album avait marqué un grand tournant dans la carrière du groupe irlandais. Porté par l’ambiance de renouveau de la ville, U2 avait brillamment réinventé sa musique en tentant quelques nouvelles expériences musicales inspirées par l’important mouvement de musique électronique de Berlin et par leur producteur Brian Eno.

Mais outre la célébration de cet anniversaire, on a pu voir Bono entrer au studio Hansa, mythique studio dans lequel U2 a enregistré Achtung Baby de même que Bowie qui y a produit quelques chefs d’oeuvres de sa trilogie berlinoise. On a vu également le groupe se promener dans la ville à bord d’une légendaire Trabant .

Depuis ça « buzze » pas mal chez les fans. Que se passe-t-il ? U2 enregistrerait-il de nouveaux morceaux ? Un nouveau clip ? L’avenir nous le dira…

Bono devant les studios Hansa en vidéo

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