Archives mensuelles : février 2011

Le Monopoly "Rolling Stones"

Pour célébrer le 75ème anniversaire du Monopoly, une version spéciale « Rolling Stones » du célèbre jeu de société est sortie il y a peu. Ici pas question d’acheter la Rue Neuve et d’y installer un hôtel. Non, dans cette version spéciale du « Monopoly » on retrouve le boulevard « Sticky Fingers » ou encore l’avenue « Beggars Banquet ». Les hôtels et maisons sont remplacés, quant à eux, par des disques d’or et de platine et les gares par des célèbres tournées du groupe. Tout est ici aux couleurs des Rolling Stones… A quand un Monopoly Beatles allez-vous me dire? Ah, mince, il existe déjà…

Plus d’informations:

http://www.monopolypedia.fr/editions/pays_spe/beatles/monopoly-beatles.php

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Un film sur le créateur de la pochette de Dark Side of the Moon: Storm Thorgerson

Storm Thorgerson est un personnage illustre de l’histoire du rock. Pourtant il ne joue d’aucun instrument, n’est pas producteur, ni manager… Storm Thorgerson est photographe, réalisateur et designer et c’est lui qui a – notamment – conçu la plupart de la pochette des grands albums de Pink Floyd. Un film/documentaire sur sa carrière sortira en mars, petit aperçu …

Le film, signé par le réalisateur new-yorkais Roddy Bogawa, s’intitule « Taken By Storm » et nous plonge dans la carrière absolument passionnante de ce génie de la réalisation de pochettes « rock ». A travers les témoignages de musiciens et amis de Storm Thorgerson, on redécouvre l’histoire de la réalisation des pochettes d’albums de Pink Floyd mais aussi de Led Zeppelin (« Houses of the Holy »), de Peter Gabriel, de Muse,  de Mars Volta,  de 10cc, de Dream Theater ou encore des Cranberries. Robert Plant, David Gilmour, Peter Gabriel et de nombreux autres sont la pour témoigner de la qualité du travail artistique de Storm Thorgerson mais aussi de leur amitié qui remonte parfois plus de 30 ans…

« Taken by Storm » sera diffusé en avant-première le 11 mars prochain lors de la cérémonie du SXSW Festival d’Austin, Texas, aux Etats-Unis. Il ne reste plus qu’à croiser les doigts pour que le film soit distribué en Europe. En attendant, une petite bande annonce ci-dessous:

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Aperçu rapide du nouvel album de Bertignac: "Grizzly (ça c'est vraiment moi)"

J’ai eu l’occasion d’écouter en avant-première le nouvel album de Louis Bertignac baptisé « Grizzly (ça c’est vraiment moi) » qui donnera suite à l’album « Longtemps », son précédent album sorti en 2005. La première chose qui saute aux oreilles c’est que la cuvée Bertignac 2011 est nettement plus rock’n’roll que la précédente. J’avais eu l’occasion de le rencontrer lors de la sortie de « Longtemps » et, même s’il n’avait pas renié les Stones et Led Zeppelin, il semblait alors trop ‘envoûté’ par son amie Carla Bruni pour nous livrer un album « punchy ». Le temps a passé et depuis, Carla s’est éloignée et consacre maintenant la plupart de son temps au président français. Terminé donc les petites ballades façon « nouvelle vague » et place à un album plus proche de l’époque Téléphone dans lequel, on l’entend, Bertignac se fait plaisir. Bertignac nous a concocté ici quelques riffs ravageurs que Jimmy Page n’aurait pas renié, bref, les amateurs de bonne musique ne devraient pas être déçus.

« Grizzly (ça c’est vraiment moi) » – Sortie prévue le 14 mars (Universal)

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Le saviez-vous?

Paul Simon et Carrie Fisher

  • Paul Simon est actuellement l’époux de la chanteuse Edie Brickell. Auparavant, il a été marié avec l’actrice Carrie Fisher, qui jouait le rôle de la princesse Leia dans « La Guerre des Etoiles »/ »Star Wars« 
  • Le premier titre à avoir été enregistré par Bon Scott, le célèbre et regretté chanteur d’AC/DC, était le 45 tours « Every Day I Have To Cry/I Can’t Dance With You » avec le groupe The Valentines en mai 67. On l’écoute ci-dessous:

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Thin Lizzy "Johnny the Fox" (1976) "Live & Dangerous" (1978) remasters à l'écoute …

Universal vient de rééditer dans sa célèbre collection « Deluxe Edition » deux excellents albums de Thin Lizzy, l’album concept « Johnny The Fox » (1976) et l’inoubliable « Live and Dangerous » (1978). Petit aperçu …

Johnny the Fox (1976)

Digne successeur de « Jailbreak », « Johnny The Fox » est un album concept signé par Phil Lynott. L’album présente toujours ce que l’on peut considérer comme LE meilleur line-up de Thin Lizzy (Scott Gorham et Brian Robertson aux guitares et Brian Downey à la batterie). Le travail effectué sur le son sur cette version deluxe est remarquable et la différence est vraiment notable par rapport à la précédente version CD qui proposait un son plutôt brouillon. A souligner également ici sur le second CD quelques BBC Sessions 76 particulièrement réussies (« Don’t Believe a Word », « Johnny The Fox Meets Jimmy The Weed », « Fools Gold » et « Johnny ») ainsi que des remixes intéressants des titres « Don’t Believe a Word » et « Johnny The Fox Meets Jimmy The Weed » supervisé par Scott Gorham, Brian Downey ainsi que Joe Elliott, le leader de Def Leppard.

Live and Dangerous (1978)

Un live que l’on ne présente plus. Indubitablement à classer dans le TOP 10 des meilleurs enregistrements publics de l’histoire du rock. On le sait, les musiciens et le producteur Tony Visconti (Bowie, T.Rex…) ont quelque peu ‘triché’ en réenregistrant en studio quelques petites sections qui n’avaient pas été bien capturées en live. Mais on s’en fiche, le résultat est excellent et on prend énormément de plaisir à réécouter ce double album rempli de titres plus explosifs les uns que les autres (« Boys Are Back in Town », « Rosalie/Cowgirl’s Song », « Still In Love With You », « Are You Ready » …). A noter ici au rayon des bonus, quelques inédits tels que les versions live de « Bad Reputation » et de « Opium Trail » ainsi que comme troisième disque, un excellent DVD nous proposant de très bonnes images vidéos enregistrées lors de la même tournée que l’audio.

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Comment se retrouver par hasard en pleine session d'enregistrement du nouvel album de dEUS?

J’ai eu l’occasion de le glisser à l’oreille de certains (et certaines) mais la plupart de ceux qui ont reçu l’information étaient dubitatifs quant à l’aspect « hasard » de l’événement. Et pourtant, Eric « La France » Laforge et moi-même nous sommes bel et  bien retrouvé par hasard en studio à Anvers en plein durant les sessions d’enregistrement du nouvel album de dEUS. Petit récit …

rencontre avec dEUS

Début de l’année 2011, je décide de prendre contact avec le producteur canadien David Bottrill afin de lui demander s’il accepterait un entretien téléphone à propos de son travail durant l’enregistrement de l’album « US » de Peter Gabriel. Evidemment, j’ai la réalisation d’un Making-of bien en tête et j’ai besoin d’un témoignage clef…

Bottrill semble la personne idéal pour répondre à mes questions. Ce jeune protégé de Daniel Lanois (légendaire producteur de U2 et fidèle collaborateur de Brian Eno) a commencé sa carrière comme assistant-son sur l’album « So ». Ensuite il est devenu l’ingénieur du son pour la plupart des albums de Gabriel qui ont suivi et est finalement devenu producteur notamment dedEUSMuse ou encore Placebo.

Je le contacte sur son mail auquel est associé l’adresse de son studio au Canada. Quelle n’est pas ma surprise lorsqu’il me répond : « Laurent, je suis actuellement à Anvers, voici mon numéro de téléphone cellulaire pour l’Europe ». Je n’avais absolument aucune information à propos de sa présence sur notre territoire. Anvers? Belgique? Je contacte des personnes proches du groupe : « dEUS ne serait-il pas actuellement en train d’enregistrer dans leurs studios anversois?« . Oui, ils sont en studio en ce moment.

Nouveau mail à David Bottrill:

LR: David ne seriez-vous pas en train d’enregistrer un nouvel album avec dEUS?

David Bottrill: Effectivement Laurent. Je me doutais que tu serais au courant, viens nous rejoindre en studio, on fera l’interview pendant le break avant le dîner.

Le rendez-vous est pris. C’est comme ça qu’Eric Laforge et moi-même débarquions un soir dans la banlieue d’Anvers. Nous sommes accueillis chaleureusement par le producteur à notre arrivée. Il nous ouvre les portes de ce studio impressionnant. Le groupe est occupé à réécouter ce qu’il vient d’enregistrer et ça sonne très bien, on peut s’attendre à une excellent cuvée pour ce dEUS 2011 prévu pour le mois de septembre.

Sur place, c’est un studio très moderne mais très loin des studios à l’américaine rempli de bois laqué. Le studio ressemble plus à une usine d’expérience musicale. Il y a des instruments et des mac books un peu partout, sur le divan, par terre… Des instruments parfois étrange, que l’on voit rarement. Klass Janszoons nous parle d’un instrument qui nous intrigue particulièrement et le producteur nous en joue quelques notes. Bottrill qui nous révèle ensuite les secrets de fabrication de l’album « Us » (que vous découvrirez prochainement sur Classic 21 dans le Making-of). Avec notre accent frenchie plus que reconnaissable, les différents membres du groupe viennent vers nous : « vous parlez français »? Et on discute un peu avec chacun d’entre eux. Après l’interview, Tom Barman, leader du groupe, se montre intéressé par le travail effectué par Bottrill sur « Us ». Barman semble apprécier l’album de Gabriel.

Tom Barman: « Vous enregistrez l’interview de David pour quelle émission? »

LR: « Pour le Making-of de Marc Ysaye sur Classic 21. D’ailleurs nous avions enregistré ensemble une interview à propos de la réalisation de l’album ‘Ideal Crash’ pour l’émission »

Tom Barman: « Ah oui, je m’en souviens. C’est une excellente émission, on l’écoute souvent Mauro et moi quand on est en voiture … »

Plutôt sympa, non? Eric Laforge discute également avec Tom Barman et lui rappelle qu’ils se sont croisés au récent concert de Gorillaz à Anvers, concert que le leader de dEUS a, semble-t-il particulièrement apprécié. Le temps de quelques photos encore et puis nous nous éclipsons discrètement question de laisser les artistes aller se restaurer dans une taverne du coin…

Oui, oui, il s’agissait bien du hasard le plus total, comme quoi le hasard fait parfois bien les choses…

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Black Sabbath: pas de réunion pour 2011

On en parlait, Ozzy Osbourne l’avait suggéré fin 2010, mais on vient de l’apprendre: Black Sabbath ne se reformera pas en 2011…

C’est Geezer Butler, le bassiste du groupe, qui l’a confirmé au magazine britannique Metal Hammer. Il a précisé « Ca n’arrivera pas cette année. Ozzy est en tournée avec son groupe cette année ». Le musicien n’a pas fermé les portes à une réunion, mais il a précisé que l’idée d’une ‘reformation’ du légendaire groupe de metal revient régulièrement sur le tapis.

Il faut dire que, depuis la disparition du chanteur Ronnie James Dio, Geezer Butler (basse) et Tony Iommi (guitare) sont en ‘stand by’ total. Idem pour le discret Bill Ward qui serait probablement de partie si Ozzy disait oui à une nouvelle tournée de Black Sabbath. Bref, peut-être en 2012, qui sait? Ce n’est pas la fin du monde, quoique … 😉

Pour conclure, si vous êtes fan ou simplement curieux à propos des différents line-up de Black Sabbath, je ne peux que vous conseiller d’aller jeter un oeil sur le site Black-Sabbath.com, on y parle de la carrière de très nombreux musiciens qui ont fait un passage dans Black Sabbath, une aventure qui dure depuis plus de 40 ans…

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Cover story: la pochette de "Californication" des Red Hot Chili Peppers par Lawrence Azerrad

En 1999, John Frusciante revient dans les Red Hot Chili Peppers et le meilleur « line-up » du groupe enregistre un album mémorable: « Californication ». La pochette marquera également son époque. Lawrence Azerrad, créateur de la pochette, a accepté de répondre à mes questions à propos de la réalisation de celle-ci. A lire ci-dessous …

Californication (1999): un album majeurs des Red Hot Chili Peppers
  • Comment avez-vous été contacté par les Red Hot Chili Peppers pour travailler sur cette célèbre pochette?

LA: Je travaillais comme jeune directeur artistique pour Warner à l’époque. Anthony Kiedis (le chanteur des Red Hot) souhaitait travailler en étroite collaboration avec un designer. Le dircteur créatif nous a mis en relation. D’après mes souvenirs, lors de notre premier rendez-vous, nous nous sommes directement mis au travail.

  • Quel était le concept de cette pochette mémorable?

LA: La base du concept derrière cette pochette était un rêve qu’avait fait John Frusciante à l’époque. Anthony m’avait simplement décrit le rêve de cette façon: ‘il y avait une piscine, et le ciel était dans l’eau, et l’eau était dans le ciel’. Je travaillais également avec John sur ce projet, mais Anthony était le moteur principal de nos discussions sur l’avancée du travail, Flea, lui, était en Australie. Après, nous avons du traduire ce rêve esthétique en image et cette image devait être une représentation de la musique du groupe, cela devait représenter quelque chose dans lequel le groupe se sentait à l’aise. Avec John et Rick Rubin, le producteur, qui étaient de retour, on devait mettre l’accent sur le fait que ça allait être un album épique. Mon rôle était de communiquer cet aspect à travers la pochette de l’album. Tout cela étant extrêmement inspiré par les célèbres pochettes des grands albums des années 70. Ca m’a influencé sur le choix de ce style de grande image surréaliste à utiliser sur un petite format (CD). L’un des grands challenge a été de trouver la bonne piscine pour la photo. Nous avons fait des essais sur des centaines de piscines différentes de la région de Los Angeles. Celle que nous avons finalement utilisée, c’était une piscine qui appartenait à des amis du groupe et qui était situé dans la vallée de LA.

  • En combien de temps avez-vous réalisé cette pochette?

LA: Il m’est impossible de m’en souvenir précisément, je dirais 5 semaines environ. Finalement, j’ai été enrôlé pour travailler dans tout ce qui entourait la sortie de l’album au niveau du design, donc j’ai travaillé un an avec les Red Hot.

  • Comment pourriez-vous décrire l’ambiance de travail avec les membres du groupe?

LA: Les relations de travail que nous avons eues ont été plus que gratifiantes. J’ai surtout beaucoup travaillé avec Anthony. Il y avait un divan dans mon bureau, juste derrière l’écran. Lui et son assistant Louis travaillaient assis dans ce divan, ils assistaient à l’avancée du travail et ils passaient pas mal de temps dans mon bureau. John venait également, mais plus brièvement, mais j’ai eu l’occasion de travailler plus directement avec lui sur un de ses albums solos. A la fin du projet, ils ont vraiment apprécié ce que j’avais réalisé et étaient très sympas. J’ai vraiment été honoré d’avoir travaillé avec eux.

  • Avez-vous envisagé d’autres concepts que cette piscine?

LA: Bonne question. Il y avait effectivement un autre concept que nous avons envisagé, et ça devait représenter leur sang. Ils avaient littéralement demandé à une infirmière de regrouper leur sang et d’en faire une photo. L’idée était d’élargir leurs traces de sang au microscope et d’en faire une pochette. Visuellement, ça ne fonctionnait pas, et ils voulaient aller de l’avant. C’est ainsi qu’on a commencé à travailler sur le concept de la piscine. Pour ne pas abandonner complètement le concept « sang », j’ai trouvé un docteur/photographe qui était spécialisé dans l’imagerie médicale 3D. En utilisant les images réalisées par le docteur, nous avons réalisés des collages et des motifs dans l’espoir d’un faire un pochette… On a testé différentes choses mais finalement c’est la concept « piscine » que l’on a choisi.

  • « Californication » est aujourd’hui considéré comme un grand classique de l’histoire du rock. Sa pochette est resté gravée dans les mémoires. Comment vous sentez-vous par rapport à cette véritable reconnaissance du public?

LA: C’est toujours agréable quand le travail de quelqu’un peut prendre part dans un projet aussi spécial, musicalement et culturellement parlant. En tant que graphiste, l’aspect le plus gratifiant est de savoir que mon travail est apprécié. La pochette représente une sorte d’icône de l’album et savoir que les fans l’apprécient est vraiment gratifiant. Le processus de travail graphique a vraiment est le fruit d’une véritable collaboration avec le groupe, étape par étape. Les médias et la culture évoluent sans cesse mais je suis convaincu que la rôle de la pochette persistera. Ce ne sera peut être plus sur une boite de CD, mais ça restera une icône, un symbole d’un album.

  • Pour conclure, parlez-nous de votre travail aujourd’hui et des musiciens avec lesquels vous collaborez actuellement

LA: Depuis 2001, je suis graphiste indépendant, sur www.laddesign.net . J’ai eu l’occasion de continuer mon travail avec des groupes et artistes musicaux (Herbie Hancock, Wilco, Brad Mehldau sont mes clients les plus récents). Mais ma clientèle s’est aussi étendue et je réalise des identités visuelles pour des hotels, des spas, des films et des agences media… J’ai véritablement un vaste réseau de clients dans des domaines différents. Mon objectif principal est de concevoir quelque chose de visuel qui soit mémorable et durable. Pour moi, le graphisme reste une passion, je m’amuse beaucoup quand j’arrive à ce résultat.

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Un jeu vidéo Ringo Starr et un film Elton John …

Pour faire face à l’actuelle crise dans le marché du disque, les artistes tentent de proposer de nouvelles choses à leurs fans, de plus en plus différents concepts multimédia voient le jour un peu partout. Après le relatif échec commercial de leur dernier album, Ringo Starr et Elton John nous reviennent, mais sous une forme différente…

Elton John prépare un film "surréaliste" ...

 

  • En effet on vient d’apprendre qu’Elton John travaille actuellement sur un film relatant sa vie. Il ne s’agirait cependant pas d’un film traditionnel dans le sens ou l’ami Elton veut en faire une sorte de film surréaliste basé sur son parcours. Lors d’une récente interview accordée à BBC 2 il a expliqué: « Vous savez, ma vie a vraiment été surréaliste, ça va d’acheter un club de foot jusqu’à Dieu sait quoi« . Il est vrai qu’il n’a jamais aimé faire les choses comme les autres. Sacré Elton, il n’a pas arrêté de nous étonner.
  • Ringo Starr, lui, de son côté, plutôt que de préparer un enième album ou une enième tournée avec son « All Starr Band », vient de signer un contrat concernant la réalisation de jeux vidéo basés sur son image. Le batteur vient en effet de déposer une marque « Ringo » qui vraisemblablement proposerait des « logiciels de jeux informatiques », des « jeux informatiques téléchargeables via Internet et les appareils sans fil » ou encore des « jouets sous forme de véhicules ou de peluches ». A quand un « Super Ringo Bros » sur nos consoles et ordinateurs?
... et Ringo un jeu vidéo. A quand un "Super Ringo Bros"?
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